Partager l'article ! Après-midi champêtre avec Antoine: Pour inaugurer la section des histoires coquines, je vais vous raconter mo ...
Pour inaugurer la section des histoires coquines, je vais vous raconter mon après-midi champêtre. J’espère que vous aurez vous aussi des histoires à nous partager. Vous pouvez me les envoyer, je les publierai !
En ce long week-end de l’Ascension, moi et mon ami Antoine avons décidé d’aller passer quelques jours dans la maison de campagne familiale à quelques heures de route de Paris. Les premiers jours du mois de mai ont été merveilleux et nous avons pu profiter d’un soleil radieux tout le week-end.
Bien décidé à en profiter, j’ai proposé à Antoine une balade en forêt. J’ai discrètement récupéré quelques matériels avant notre départ : une vielle bobine de ficelle assez grosse, et un tournevis dans le vieil établi. Je les ai mis dans le sac à dos, sans qu’Antoine ne se doute de quoi que ce soit.
Sur le chemin forestier, alors que nous sifflions joyeusement, j’ai brusquement prétexté l’envie de faire une pause et me suis assis sur un gros rondin de bois qui longeait le sentier. Antoine s’assied à côté de moi et sort sa bouteille d’eau.
Antoine est beau : brin, les yeux noisette très clair, le regard lumineux, un sourire charmeur et rieur à la fois, la peau finement tannée. Il est assez grand et sculpte son corps dans une salle, mais il reste sec. Il ne transpire pas encore, mais déjà, son tee-shirt laisse deviner des pectoraux impeccables. Enfin, il est assez-peu poilu et son short d’été laisse apparaitre des jambes presqu’imberbes. Je le regarde boire et j’ai très envie de lui. Je bande un peu.
Je caresse assez franchement sa cuisse et remonte rapidement vers l’entre-jambe, je touche sa queue encore molle. Surpris, il renverse un peu d’eau qui coule le long de son cou et disparait sous le col de son T-Shirt. L’idée de se filet d’eau coulant sur son corps m’excite. Mais déjà, son étonnement laisse place à un léger sourire coquin.
Je l’embrasse et il se laisse faire. Je lui caresse encore la queue et au bout de quelques secondes, celle-ci grossit. Je la sens, elle me donne vraiment envie. Je regarde à droite, puis à gauche sur le chemin. Il n’y a personne mais je lui propose que nous nous enfoncions un peu dans les bois. Il accepte en me dévorant du regard et me suit.
Nous marchons une trentaine de mètres pour trouver un endroit favorable, avec un rocher sur lequel s’asseoir ou s’appuyer. Nous nous caressons mutuellement la verge sans nous déshabiller.
Je chuchote :
« - J’ai une surprise pour toi.
Ha oui ? Mmmh ! J’adore les surprises ! »
Je sors du sac la bobine de ficelle et constate, satisfait, sont regard étonné. Il fait très chaud malgré l’ombre des arbres et nous commençons tous deux à transpirer.
" Laisse-toi faire", lui dis-je en reprenant le massage de sa bite maintenant bien grosse.
Nous nous déshabillons et, n’en pouvant plus, je le suce avec fougue. Le pénis d’Antoine est vraiment gros, ma main en fait tout juste le tour et ma bouche est bien remplit. Ma langue tourne autour de son gland pour lui donner de meilleures sensations. Il gémit un peu et me caresse la tête. Je bande beaucoup.
Je sors de nouveau ma bobine de ficelle et la déroule. Je commence par faire un nœud au bas de sa verge, puis, je tourne autour en remontant vers le gland afin de la ficeler, un peu comme pour une momification. Je le regarde et son sourire me rassure. Antoine est excité.
J’entreprends d’aller plus loin : mes nœuds lui serrent les couilles et tournent autour de sa taille pour passer derrière.
La ficelle s’enfonce alors un peu dans la rai de son petit cul imberbe et reviens vers le devant par-dessous. Antoine est maintenant ficelé de toute part, mais son gland ressort de tel sorte que je peux encore le lécher goulument.
Je branle sa grosse bite ficelée et le pousse légèrement pour qu’il s’allonge sur le rocher. Nous sommes nus et nous transpirons beaucoup. Il me suce comme un dieu et je continue à branler son fagot. Je lui glisse à l’oreille que j’ai une seconde surprise pour lui.
Ho oui ! me réponds-t-il aussitôt.
Je sors rapidement le tournevis qui était resté dans le sac. Son manche phallique est long et particulièrement gros pour un tournevis. Antoine souri, béa, et lève les jambes pour offrir son cul. Le jeu des cordes qui entourent sa verge fait tendre cette dernière vers le haut : elle ne peut pas retomber sur ses abdos. Ce mouvement provoque chez Antoine un gémissement incontrôlé.
Cela m’excite tellement que je salive, et décide de lécher le manche du tournevis avant
d’entreprendre de jouer avec. Pendant ce temps, j’écarte le string que constituait la ficelle et enfonce un doigt, puis deux dans son magnifique petit trou.
Antoine m’en demande encore, et ça tombe bien : le manche du tournevis est prêt. Je l’approche avec beaucoup de douceur vers son réceptacle et l’enfonce lentement. Il entre sans difficulté et un gémissement d’Antoine m’indique son grand plaisir. Le manche fait des aller-retour et Antoine gémis beaucoup.
Après l’avoir godé, je décide de mettre ma bite dans son cul. Je l’encule avec force tout en branlant son fagot. Au bout de quelques secondes cependant, il cri et éjacule. La giclée est fougueuse est bie
n blanche. Il respire fort et relâche tous ses muscles tendues quelques secondes avant.
Il me regarde dans les yeux, avec un sourire et un air de soulagement.
Je sors de son petit cul et lui présente la queue à lécher.
Comme pour me remercier, il m’offre une sa langue et bientôt, je sens la sauce monter. Je gémis de plus en plus fort, il sait que ça arrive et accélère pour m’offrir une éjaculation facilement.
Je regarde Antoine, je le trouve encore plus beau, je lui envoi ma sauce avec une force inavouée.
Il y’en a beaucoup mais il la reçoit avec joie. Quelle jouissance !
Nous nous sommes encore embrassé quelques minutes avant de nous rhabiller. Dans les bois, au contact de la nature, nous nous sommes senti libre et plus gay que jamais.